lundi 30 mars 2009

Oracle Application server 10g n’aime pas les coupures d’électricité

Suite à une coupure d'électricité, le serveur n'arrive plus à démarrer les instances de OC4J.

L'administrateur du système (chez un client) m'appelle : « OAS ne marche plus et réclame une file d'attente JMS, le problème c'est qu'il n'y a jamais eu besoin de cette file d'attente ? »

En effet, le lancement du serveur ne s'effectue plus et le message d'erreur (dans le fichier log) est bizarre :

09/03/30 15:47:10 *** (SEVERE) Failed to set the internal configuration of the OC4J JMS Server with: XMLJMSServerConfig[file:/F:/product/10.1.3/OracleAS_1/j2ee/APP_FRONT/config/jms.xml]

09/03/30 15:47:15 ATTENTION: Application.setConfig Application: default is in failed state as initialization failedjava.lang.InstantiationException: Error initializing ejb-modules: Resource exception(OracleASjms) for MessageDrivenBean event during endpoint activation: failure looking up ConnectionFactoryJndiName:jms/XAQueueConnectionFactory: javax.resource.spi.ResourceAdapterInternalException: Looking up jms/XAQueueConnectionFactory: javax.naming.NameNotFoundException: jms/XAQueueConnectionFactory not found

30 mars 2009 15:47:15 com.evermind.server.Application setConfig

ATTENTION: Application: default is in failed state as initialization failedjava.lang.InstantiationException: Error initializing ejb-modules: Resource exception(OracleASjms) for MessageDrivenBean event during endpoint activation: failure looking up ConnectionFactoryJndiName:jms/XAQueueConnectionFactory: javax.resource.spi.ResourceAdapterInternalException: Looking up jms/XAQueueConnectionFactory: javax.naming.NameNotFoundException: jms/XAQueueConnectionFactory not found

09/03/30 15:47:15 Error initializing server: Error initializing ejb-modules: Resource exception(OracleASjms) for MessageDrivenBean event during endpoint activation: failure looking up ConnectionFactoryJndiName:jms/XAQueueConnectionFactory: javax.resource.spi.ResourceAdapterInternalException: Looking up jms/XAQueueConnectionFactory: javax.naming.NameNotFoundException: jms/XAQueueConnectionFactory not found

09/03/30 15:47:17 Fatal error: server exiting


Heureusement, c'est bénin (pour ne pas dire banal):

Il suffit de se rappeler qu'OAS gère un système de fichiers LOCK dans le répertoire

%OAS10g_HOME%\oc4j\j2ee\home\persistence

Le nettoyage n'ayant pas été fait, lors de la coupure d'électricité, les fichiers de gestion de LOCK sont restés. Cela empêche OC4J de démarrer.

Malheureusement, il n'est pas programmé pour détecter ce type de situation.

La solution :

Il suffit (pour toutes les instances de OC4J)

  1. de supprimer les fichiers LOCk (*.lock)
  2. redémarrer le serveur (OC4J)

il faut avouer, ce n'est pas aussi simple qu'avec du Tomcat.



vendredi 20 mars 2009

Si IBM achèterait SUN : Quelle conséquence pour le monde Java ?

Avant la crise, les observateurs s'attendaient au rachat (ou la mort) de SUN. Les candidats potentiels ne sont pas nombreux : HP, IBM, Dell ou Cisco (qui vient faire son entrée dans le monde des serveurs).

Sous l'effet de la crise, le secteur des serveurs doit accélérer sa consolidation, il va falloir éliminer SUN.

Ainsi, selon le Wall Street Journal IBM serait en discussion pour acheter Sun (pour un montant de 7 Md$).

Le probléme est qu'en mettant la main sur SUN, IBM, devra faire beaucoup de choix pour absorber et valoriser les actifs de SUN: les gammes de serveurs, le désengagent de Solaris et l'abandon d'OpenSolaris, l'orientation de son offre de vitalisation, les relations avec Microsoft, ..

Pourquoi IBM mettrait autant d'argent pour acheter SUN ?


 

La réponse est simple : Gig Blue, ne pouvait prendre le risque de laisser SUN tomber entre les mains d'un rival tel que HP ou Cisco. Cela permettra aussi à IBM de pré »server, pour quelques années, sa position comme un géant des datacenters et du cloud computing.


 

Et Java dans cette nouvelle configuration


 

Bien qu'elle ne soit pas la cible principale de ce futur rachat, la principale communauté touchée sera celle de Java,


 

Pour commencer, il est indéniable que IBM continuera à supporter java : Java est au cœur de l'offre logiciel de IBM et constitue une part importante de son expertise en services (SOA/BPM)

Java ne risque pas de disparaitre mais risque de devenir un peu plus « bleu »


 

Le modèle open source de java va se renforcer.

Faisons une analogie simple :

Question : Quelle est le souhait d'un fournisseur de sucre (Serveurs et middlewares) ?

Réponse : c'est de voir le café et thé (java EE, est la principale solution Server Side) gratuit, pour vendre plus de Sucre (Serveurs et middlewares).

Les décisions faciles à prendre :

  • Eclipse va certainement remplacer NetBeans, certains modules de NetBeans seront convertie en plugin Eclipse (Le profiler de netbeans sera intégré à Eclipse TPTP et le module web (ex Java Studio Creator) sera intégré à WTP pour améliorer l'intégration de JSF par exemple)
  • SWT prendre plus sa place dans les distributions Java, préfigurant l'éclipse de Swing et de AWT
  • Java Caps sera intégré au projet Alphaworks,
  • JBI serait marginalisé au profit de SCA
  • OSGI (JSR 291) deviendra une pièce maitresse dans la distribution de Java EE et verra son acceptation dans le JCR plus fluide.
  • Glassfish sera démantelé pour être intégré à Geronimo et à WebSphere
  • MySQL sera remplacé progressivement par javaDB (apache derby)
  • OpenOffice (et StarOffice ) sera intégré à Lotus pour contrer l'offre MOSS de MS (SharePoint 2007).


 

Mais, d'un autre coté  :

  • La réduction du monde Java, à seulement trois acteurs majeurs (Oracle/BEA, IBM/SUN, et a communauté open source) risque de ralentir le rythme d'innovation, nécessaire pour faire face à l'avènement des plateformes PaaS (telque AZURE de Microsoft).
  • Mettre la main sur le processus JCR, permettra à IBM de devenir prépondérant dans la gouvernance de Java. Le risque c'est que WebSphere devienne l'implémentation de référence de Java EE, les utilisateurs de WebSphere savent que ce SA est trop complexe par nature !
  • Mais, il faut reconnaitre que la communauté pourra gagner plus avec un « gouverneur » qui a de l'expérience dans la mise en ouvre de solutions avec Java, et qui gagnait de l'argent avec des solutions Java/Java EE, ce qui était moins le cas de SUN.
  • L'idéal serait de transformer le JCR en une Fondation Java indépendante d'IBM, selon le modèle Eclipse Fondation.
  • La certification Java risque d'être moins claire et moins multiplateforme
  • Certains projets open source risquent de perdre le soutien de SUN, à commencer par Liferay par exemple et l'offre Master Data Mangement de Sun (incluse dans JavaCaps) sera tuée pour ne pas favoriser l'avènement d'une offre MDM open source.

Finalement

Une question persiste : quelle sera la position d'IMB face à JavaFX, va l'elle le soutenir pour contrer MS ou bien va-t-elle s'allier avec Adobe pour promouvoir Flex.

Pour le moment, les choses ne sont pas encore officielles et IBM devrait choisir entre SUN et Satyam (mais ceci est un autre sujet).

Se renforcer dans les serveurs ou se renfoncer dans les services ?


 

Pourquoi pas les deux.

samedi 14 mars 2009

InfraRED : un outil de suivi des temps de réponse d’application J2EE, de monitoring et diagnostique de problèmes de performance.

InfraRED est un outil de suivi de performance d'une application J2EE. Il a la capacité de surveiller les temps de réponses d'applications Java EE complexes et fournir des mesures détaillées des temps de réponses des composants du système.

InfraRED est très utile pour le diagnostic de problèmes de performances et permet, par exemple, de répondre aux questions suivantes :


Il collecte les mesures de temps de réponses sur divers aspects d'une application et les rend disponible pour l'analyse ou à des fin d'alerte ou pour assister dans la phase de recherche de causes pour des problèmes de lenteurs.


InfraRED exploite les mécanises de l'AOP (Aspect Oriented Programming) pour instrumentaliser le code source en ajoutant les instructions de mesure des temps de réponse (AspectJ & Aspectwerkz) au byteCode des applications, déjà déployées dans le serveur d'application J2EE.


Pourquoi utiliser Infrared ?

Les principaux avantages de Infrared sont :

  • Il est capable de collecter des statistiques sur les différents aspects de
    performance d'une application J2EE et de les rendre disponible pour une analyse de bout en bout
    • HTTP
    • JDBC
    • WEB
    • SQL
    • Hibernate
  • Il est non intrusif, adaptée aux environnements de pré-production, aucun changement dans le code source de l'application n'est nécessaire.
  • Le niveau de statistiques est configurable
  • Il est adapté au suivi de la couche d'accès aux données
  • Une console web et la capacité d'export vers Excel
  • Il offre la capacité de présenter les séquences d'appel entre les méthodes
  • Il est open source

Exemple d'utilisation de InfraRED

Une fois installé, InfraRED instrumente le bytecode des applications et ajoute des instructions pour le suivie et la calcul des temps de réponses. Il est capable de différencier les types d'appel selon les couches (web, java, JDBC ..) :

Il est capable de présenter les temps de réponses pour les classes de Struts (1.2.x)


Il est capable de présenter les temps de réponses pour les appels de JSP


L'inspection des requêtes SQL exécutés par l'application étudiée, reste la fonctionnalité la plus intéressantes de Infrared.

En effet, il permet de mesurer les requêtes SQL les plus coûteuses en termes de nombre d'exécution et de temps moyen d'exécution (nombre paramétrable)


Compromis information Vs impact sur les performances

Il est recommandé d'utiliser Infrared avec précautions.

En effet, observer un système ne peut se faire sans le perturber, l'utilisation d'Infrared va impacter les performances de l'application (impact estimé à moins de 5%). Cet impact est essentiellement lié à l'empreinte sur la mémoire de statistiques collectées en temps réel et à l'insertion périodique dans la base de données de ces informations.

mais le principal souci reste que le projet est en arrêt depuis 2006

à suivre ...



Installation simple à mettre en œuvre en 4 étapes

Après avoir Téléchargé Infrared à partir de l'adresse : http://infrared.sourceforge.net/versions/latest/

  1. Ajouter dans un variable d'environnement INFRARED_HOME
  • Ajouter dans le variable d'environnement JAVA_OPTS: -javaagent:%INFRARED_HOME%\aspectjweaver-1.5.0.jar
  1. Copier le jar $INFRARED_HOME$\infrared-aspectsystem-all-2.4.1.BETA.jar dans TOMCAT_HOME\lib
  • Copier le jar $INFRARED_HOME$\infrared-agent-all-servlet-2.4.1.BETA.jar dans TOMCAT_HOME\lib
  • Copier le fichier INFRARED_HOME\props\infrared-agent.properties dans le WEB-INF/classes de l'application à monitorer.

C) Ajouter InfraRED application startup listener :

  • Pour les WAR web application, ajouter le code suivant dans fichier WEB-INF/web.xml

Filter : net.sf.infrared.aspects.servlet.InfraREDServletFilter

Listener : net.sf.infrared.agent.setup.InfraREDServletContextListener


D) InfraRED web interface peut être trouvée dans INFRARED_HOME/infrared-web-all-2.4.1.BETA.war. Le WAR peut être installé sur n'importe quel conteneur Web J2EE.



dimanche 8 mars 2009

Spring, Eclipse & Flex : quelle relation ?

Spring & Flex :

SpringSource, continue dans sa lance pour rendre Springframwork incontournable dans le monde java et tout ce qui est en relation avec Java EE.

A la base un Ioc, Springframwork a relevé le défi « annoncé » de simplifier le développement Java EE, et peut être avec une arrière pensé «à peine cachée» de s'y substituer.

La majorité des projets Sping simplifient le coté « back end », quelques autres assistent les technologies du client GUI (IHM) : Sping MVC, SpringRCP, support JSF, …

Mais voilà, Sping est en phase finale de livraison d'une intégration du monde Flex, à Java EE avec le monde Java EE, un projet lancé en 2007.

C'est le projet Spring BlazeDS Integration.

Rappelons, que BlazeDS est un complément à Flex pour connecter un(e) RIA (Rich Internet Application) basé sur Flex à des services java dans le Back-end.

En effet, un(e) super RIA sans données « synchronisés » avec les applications du Système d'Information, n'a aucun sens pour des applications d'« Entreprise ».

Ainsi,
Spring BlazeDS Integration,
est supposé amener vers Flex, une bonne partie des habitués et fidèles de java et Spring Ioc.

Un super cadeau à Adobe (j'espère pour SpingSource qu'il a bien négocié son effort).

Rappelons, qu'un autre projet open source, plus ancien, Granite Data Services (GraniteDS or GDS) est en concurrence avec BlazeDS. Mais que ce dernier, n'ayant pas eu le support direct de SpringSopurce, offre, lui-même, sa propre intégration avec Spring.

Eclipse & Flex :

D'un autre coté, la fondation Eclipse, toujours soutenue par IBM, continue à préparer la prochaine version de Eclipse, la fameuse Eclipse e4 (qui est encore à la version 0.9M1 et annoncé pour la mi-2010.).

Le plus intéressant, c'est l'effort consenti sur la migration de SWT vers Flex : Code ton application en SWT/java et publie le résultat sous forme SWF de Flex (avec du ActionScript).

L'idée est simple et même pas originale, me dirait on de coté GWT !

Le projet n'est pas aussi évident, c'est popur cela que Eclipse creuse d'autre piste en parallèle, SWT vers dojo et RAP (Eclipse Rich Ajax Platform).

Spring, Eclipse & Flex : quelle relation ?

La question qui se pose alors :

Est-ce qu'il s'agit d'une simple réponse, à la demande des utilisateurs de Flex, ou bien d'une prédiction que Flex va remporter la guerre des RIA en relation avec le virage SaaS, et pas seulement la bataille du Web 2.0.

Tout cela pour contrer SUN ? et JavaFX ?

Si cela se confirme, il est temps d'investir sur Flex! Qui n'est malheureusement pas un standard, et dont la pérennité dépend d'un seul acteur (bien qu'il soit open source).

A suivre ..

mercredi 4 mars 2009

Les élèves ingénieurs de la Faculté des Sciences de Tunis font la surprise à la communauté

Pour une surprise ! S'en est une,

J'ai été agréablement surpris de l'annonce du lancement officiel du site INFOPLUS.org.

Après plusieurs années de contact avec le monde « techno » au Maghreb et un constat amer d'immobilisme Ultra Généralisé, en voilà une initiative louable :

l'annonce est la suivante

Bonsoir les ami(e)s

Notre surprise est enfin prête à être dévoiler, êtes vous suffisamment curieux ?
Venez découvrir Notre Site Web : http://infoplusfst.org/

Un projet tant attendu qui vous est offert ..
Faites nous part de vos opinions, vos remarques et de vos critique sur cette adresse : soumow@infoplusfst.org

INFOPLUS
Vision plus large que jamais !!!


Le contenu du site est riche, on peut y naviguer facilement, malgré des difficultés d'orientation causé par le nombre élevé de couleur et de symboles existant sur les pages;

Cela est dû à ma déformation professional : Simple is beautiful

Et par ma perception du modèle JE2I : Just Enough Essential Information

Les activités sont intéressantes et les sujets sont en avance de phase par rapport au marché : SilverLight 2.0. et contrastent avec un grands nombre de cours classiques de l'université !

Bravo à nos jeunes de la Faculté des Sciences de Tunis

Un conseil simple : préparez dés maintenant la relève,

ce type d'initiative doit être traité comme un « programme »: préparation/analyse, conception, développement, test, mise en production et maintenance (corrective et évolutive)

Il faut savoir que la maintenance d'un programme dure en moyenne +10 fois la durée du projet de développent. Alors longue vie à infoplusfst.org

Bon travail, bon courage et bonne continuation.

Cette initiative mérite le soutien de tous

Et surtout du TeeJUG http://groups.google.com/group/teejug




dimanche 1 mars 2009

Salon open source 2009 à Paris : le renforcement de la consolidation du secteur ?

La version 2009 du salon de l'open source de Paris, se prépare, www.solutionslinux.fr, et va élire domicile à la Porte de Versailles, du 31 mars au 2 avril 2009.

Le salon fête déjà ses 10 ans !

J'espère que cette édition nous fera oublier le constat général laissé par l'édition 2008 du salon (qui s'est tenu du 29 au 31 janvier au CNIT ) : c'était un peu plus petit que les éditions précédentes.

Ce rétrécissement apparent, ne pouvait qu'être amplifié par la taille du stand de Redhat et de la grande place prise par les stands des associations.

A l'époque, chacun avançait ses explications, et son argumentaire.

Les "libro septiques" perçoivent, là, les symptômes évidents du « début du déclin » du "phénomène" et l'expliquent par l'adaptation par certains grands éditeurs des prix des licences et des manœuvres de dynamitages opérés par d'autres (achat d'éditeurs, cooptation de membres clés de certaines communautés open source, enregistrements de brevets, …) et par l'émergence, tant attendu, du SaaS (Software as a Service).

Les "libro optimistes" avancent l'argument du prix de l'organisation (le CNIT a fait peau neuve depuis quelques semaines) et certains parlent de la montée en puissance des salons régionaux (Le premier Salon Professionnel des Logiciels Libres et Open Source du jeudi 04 octobre 2007 à Marseille).

En visitant les stands, le constat est éloquent, le secteur open source, en France, rentre dans une phase de consolidation.

  • Premier signal,
    • l'émergence de "groupe globaliste open source". Il suffit de discuter avec le directeur commerciale de Alter Way pour s'y rendre à l'évidence : L'entreprise a réalisé l'acquisition de plusieurs SS2L (Société de Service en logiciel Libre) spécialisées pour présenter une offre globale couvrant les principaux besoins du système d'information : gestion de contenu, gestion des données, infrastructure système, hébergement,
  • Second signal
    • le nombre croissant de solutions matures de supervision de réseau, de téléphonie IP, d'infrastructure d'hébergement à valeur ajoutée, des moteurs de workflow / BPM, les solutions de gestion de contenu, et les plateformes SOA et même de MDM.

Mais, le plus remarquable reste l'implication de l'Europe, certes il n'y avait pas de stand "Europe", mais en visitant le stand OW2 on y décèle l'empreinte de la méthode "communauté européenne" (ou plutôt les fonds de la communauté).

OW2 est un consortium indépendant, issue de la fusion en janvier 2008 des communautés ObjectWeb et orientWeb (Europe et chine unis face au géant américain) , dédié au développement de logiciels middlewares et SOA (Service Oriented Architecture ) essentiellement en technologies J2EE: on y trouve des serveur d'application J2EE (JonAS), des ESB (PEtALS, un ESB basé sur le standard JBI), des IDE (Lamboz basé sur Eclipse), d'un moteur de workflow / BPEL : Orchestra …), un Portail J2EE (Exo Plateforme), le fameux XWiki, la solution Business Intelligence (SpagoBI)…

La majorité des projets présentés, par les SS2L issue de OW2 ont été financés par un ou plusieurs fonds de recherche de l'Europe.

Il ne faut pas s'y tromper, "Bruxelles" ne jette pas l'argent par les fenêtres, si la communauté finance des projets de ce type et avec ce modèle économique de l'open source(les solutions OW2sont souvent disponibles sous la licence LGPL), c'est qu'il y une bonne raison.

En effet, l'Europe a décrété que l'open source est une source de compétitivité du secteur TIC au sein de la communauté face aux géants Américains.

Quand on voit que Microsoft emboite le pas avec son fameux www.codeplex.com, on ne peut que constater :

La "marche de l'open source" continue et le secteur se consolide, à suivre …

Architecte SOA & Professionnel Open Source Headline Animator

 
Khaled BEN DRISS
Cloud Computing, SOA et Web 2.0 : Des sujets techniques sur SOA et l'Open Source : de Java & .Net, PHP5, Symfony, à SaaS / PaaS en passant par Azure, google appengine, le BPM, la Modélisation et d'autres sujets du coté du serveur et cloud computing.